En pleine action devant les directeurs, Christian Mésenge, Martin Yelkouni et Danièle Bordeleau et une soixantaine d'étudiants, sous l'œil attentif de Léopold Sédar Senghor, dans le cadre derrière moi. |
Le bloc de verre qui abrite l'Université Senghor. |
J'ai terminé cette journée fort occupée par un repas chez Christan Mésenge, directeur du département Santé, en compagnie de deux autres directeurs de Senghor, Danièle Bordeleau, du département Administration et gestion, et Martin Yelkouni, du département Environnement. Nous avons parlé politique, de la situation explosive, particulièrement à Port Saïd où il y a eu plusieurs morts récemment. La valeur de la livre égyptienne est également à son plus bas, comme vous avez pu le constater par les bas prix de mes repas depuis mon arrivée. Ce soir encore, en revenant de manger de chez Christian et malgré l'heure tardive, j'ai pu acheter une veste de cuir dans un commerce régulier pour moins de 40 $!
À voir la quantité d'offres et le peu de demandes, les visiteurs étrangers étant très rares, on peut en effet se demander comment les marchands et les gens vivant de l'industrie du tourisme font actuellement pour survivre.
Beau séjour!
RépondreSupprimerAT
Terrible votre message! M. Richard!
RépondreSupprimerIr. Emmanuel Mvula
J'essaie de transmettre un message positif pour la fin de ces deux années. Espérons que tous sortiront grandis de cette belle expérience à Senghor!
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